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Saint André

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11 mars 2014

Pas de zumba "Bédier" au Colosse

Politique

Pas de zumba "Bédier" au Colosse

Article de Clicanoo.re publié le lundi 10 mars  2014

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Saint-andré

La semaine dernière, le candidat de l’UDSA soutenu par le PCR, Joé Bédier, dénonçait la déprogrammation de la journée « Femmes & sports », qui s’est déroulée hier au Colosse, d’une animation de zumba orchestrée par une « animatrice de sports dans le privé » se trouvant être l’une de ses colistières (notre édition du 6/03). À savoir, Catherine Dary, que l’on retrouve en sixième position sur sa liste. C’est elle qui avait animé la zumba l’année dernière. Elle est employée par une association travaillant par convention avec la mairie, indique cette dernière. « La mairie ayant découvert sa présence à mes côtés vient de décommander cette participation par un coup de fil (...) Dans les jours précédents, des émissaires avaient déjà tenté de la dissuader de figurer sur ma liste », pointait le 1er adjoint.

Pour rappel, ce dernier a présenté son équipe le 1er mars (notre édition du 2/03). Jeudi, la mairie envoie aux rédactions le programme de la journée de dimanche où figure bien la zumba. Une version éphémère, une nouvelle étant envoyée dès le lendemain et cette fois sans zumba à l’horizon.

Pour le directeur de cabinet d’Eric Fruteau, il ne peut y avoir « d’amalgame » entre l’activité sportive et privée et la politique. Ce n’est pas sa position de colistière qui serait visée selon lui, mais le fait d’avoir fait une animation le week-end dernier avant un « meeting du candidat, il y a donc amalgame ». Et la visite au cabinet de la dite colistière en fin de semaine n’y changera rien. Joé Bédier affirme qu’il ne s’agissait pas d’un meeting, ni même d’un rassemblement de militants « mais d’une animation ouverte à tous, je n’ai jamais pris la parole ». Il dénonce des « pratiques intolérables ».

Hier, à l’heure dite, pas de zumba au Colosse, provoquant le désarroi de quelques femmes venues spécialement pour cela. Elles ont pu se retourner sur les autres animations proposées dans l’après-midi (danse orientale, randonnée, concerts des B Girls...) en présence de miss Réunion dont une... zumba géante réintégrée au final par la mairie. Mais avec un autre prestataire, à savoir l’ACER (Athlétique Club Réunion). La zumba oui... mais pas de « zumba Bédier » !

P.M.

 

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29 janvier 2014

La FSU souhaite la défaite d’Eric Fruteau

 

La FSU souhaite la défaite d’Eric Fruteau

Article de Clicanoo.re publié le Mercredi 29 janvier  2014

L’affaire du vol de 1 772 euros dans le coffre de la mairie annexe de Cambuston en avril met le feu aux poudres entre le syndicat et la mairie. Cette dernière demandant le remboursement de la somme à la régisseuse des recettes accuse le syndicat.

Saint-André

Le communiqué est signé par le secrétaire départemental de la FSU, Leandre Billaud et par le secrétaire du SDUCLIAS-FSU (sa branche dédiée aux collectivités), Christian Picard. Les deux hommes tirent à boulets rouges sur la mairie qui compte pourtant à sa tête son ancien secrétaire général adjoint, Eric Fruteau, ainsi qu’une membre active en tant qu’adjointe, Cendrine Peignon (SNUEPP). La mairie ? “Un navire sans capitaine et des personnels abandonnés ?, taclent d’entrée les syndicalistes en dénonçant “pressions et menaces sur les employés communaux ?, un maire “absent ?, un service DRH “qui n’apporte rien aux employés ? et des agents “déplacés au bon vouloir de certains chefs de service" L’affaire qui met le feu aux poudres : le vol de 1 772 euros dans le coffre de la mairie annexe en avril dernier. La somme correspond à la recette des cantines. La mairie a porté plainte et une enquête a été ouverte par la police. Le syndicat pointe un “désengagement total et lâche des responsables de la mairie ? et dénonce la demande faite par la commune à la régisseuse des recettes de rembourser la somme perdue “alors que l’enquête de police n’a encore pas abouti". Selon le syndicat, c’est la responsable qui avait alerté la mairie après avoir découvert au matin le coffre qui ouvrait mal.

« Moi je ne suis pas en campagne »

Dans la nuit, un autre agent avait lui désactivé l’alarme "pour venir chercher une table sans que celle-ci ne soit déplacée". Pas d’accusations, mais des soupçons. Le syndicat exige une remise gracieuse en faveur de la responsable. "Elle a demandé à passer l’affaire au conseil, mais on lui a rétorqué que ça devra attendre le prochain conseil, après les élections", poursuit la FSU. Sa sentence : "Pour le bien-être des personnels et de leurs revendications, il faut espérer que ce ne soit pas la même équipe qui sera réélue (...) Nous avons soumis un grand nombre de dossiers sur des personnels en souffrance qui attendent toujours des réponses".

À la mairie, on rétorque que le remboursement par les régisseurs des sommes non perçues est prévu par le code des collectivités avec une assurance dédiée à cela. Elle affirme croire "en la bonne foi de la responsable (...) Ce n’est pas sa responsabilité personnelle qui est en jeu". Le DGS confirme une remise gracieuse encore à voter au conseil. La mairie se défend par contre d’être à l’origine de la demande.

À la FSU, on maintient et on tient à disposition "la lettre de mise en demeure de la mairie (...) Le code des collectivités est une chose, mais là il s’agit d’un vol avec une enquête non bouclée", juge Christian Picard. Interrogé hier matin Eric Fruteau réagit : "Je laisse le soin à ce syndicat d’assurer la responsabilité de ses paroles. Dans le traitement des dossiers, moi je ne suis pas en campagne électorale". Élu maire, il n’avait pas renouvelé son adhésion à la FSU. Le divorce semble prononcé.

P.M.

16 janvier 2014

La majorité d'Eric Fruteau s'effriter

La majorité d'Eric Fruteau continue à s'effriter

Article et  infographie de Clicanoo.re publié le Mercredi 16 janvier  2014

Entre Huguette Bello et Eric Fruteau, Michèle Caniguy a fait son choix. La 2e adjointe au maire déléguée à la culture, était à la table d'honneur du PLR samedi dernier à Sainte-Suzanne. À son image, en un mandat, entre 14 et 19 élus ont tourné le dos au maire.

SAINT-ANDRé

Après le 1er adjoint, Joé Bédier, au tour de la 2e, Michèle Caniguy de « lâcher » Eric Fruteau ? L'intéressée était injoignable hier mais les faits portent à le croire. Le samedi 11 janvier dernier, à l'occasion de la rentrée politique de Daniel Alamélou à Sainte-Suzanne, l'adjointe au maire et conseillère générale de Saint-André s'est clairement affichée aux côtés des ténors du PLR. Rappelons que le mouvement d'Huguette Bello s'oppose à la candidature de Claudy Fruteau, la femme du maire aux municipales de mars. Pour les prochaines cantonales, au lieu de continuer à soutenir Eric Fruteau aujourd'hui "sans famille politique", Mme Caniguy, elle, a préféré rester au sein du PLR qui pourrait, par ailleurs, miser sur un ticket Alamélou/Caniguy à Cambuston, prochainement rattaché à Sainte-Suzanne suivant le nouveau découpage territorial. Ce choix tactique constitue un coup dur de plus, pour le camp Fruteau, déjà fragilisé par le départ de plusieurs autres élus de la majorité.

L'hémorragie a commencé au divorce d'Eric Fruteau avec le PCR en juin 2012, suite à sa défaite aux législatives de la 5e circonscription. Bien que Jacky The Seng n'ait jamais quitté officiellement la majorité municipale, l'ancien 7e adjoint qu'il était, est en froid avec le maire et son entourage. Idem pour 3 autres élus fidèles au parti de Paul Vergès. La scission du bloc majoritaire s'est ensuite accentuée au lendemain de la décision d'inéligibilité du maire en mars 2013, suivie de la prise de position de Joé Bédier qui a décidé de monter une liste. Le conseil municipal du 25 novembre 2013 a mis au grand jour une majorité fragile qui peinait à atteindre le quorum. Trois faits y sont à retenir : la formation d'un groupe Bédier/PCR qui réunissait 9 élus ; l'absence de 2 élus de la majorité qui n'ont plus donné signe de vie malgré la menace qui pesait sur le quorum ; et enfin, la constitution d'un groupe proche du candidat Serge Camatchy, composé de 4 élus dont 3 de la majorité.

Ce n'est pas fini. Dans un courrier du lecteur, le communiste Paul Dennemont prétend savoir que récemment, en plus de Michèle Caniguy qui ne cache plus son appartenance au PLR, 1 autre adjointe ; 2 autres élues déléguées et une conseillère municipale seraient aussi sur le départ. D'après les "indices" donnés dans son courrier par M. Dennemont qui ne cite pas les noms, et d'après nos sources, les élues faisant partie de cette récente vague sont Cendrine Peignon ; Viviane Soune-Seyne ; Ghislaine Taillame  et Monique Payet. Ce qui ramène à 19, le nombre d'élus de la majorité de 2008 à avoir quitté le navire ou sur le point de le faire. Le manque de quorum n'aura pas d'effet sur le fonctionnement de la collectivité en ces 2 derniers mois du mandat. En revanche, face à l'effritement de son équipe qui ne peut plus compter que sur une petite quinzaine de fidèles, la partie s'annonce rude pour le camp Fruteau. Mais le dernier mot appartient aux électeurs.

P.R.

tableau

 

 

24 octobre 2013

Le Changement lé amer

 

Article de Clicanoo publié le Jeudi 24 octobre 2013

 

JMV


 Saint-André: L'heure du bilan pour éric Fruteau

 

 

 

Leader de l'opposition fidèle au poste depuis 2008, à l'origine du recours qui a conduit à l'inéligibilité d'Éric Fruteau, Jean-Marie Virapoullé dresse un bilan au vitriol : « Le changement proposé en 2008, c'est l'incompétence d'un homme, mais aussi l'arrogance et le mépris du clan Fruteau. Saint-André « y défé » en raison de l'incompétence du maire : l'insécurité ne cesse de progresser, la qualité des repas dans les écoles s'est dégradée en raison d'une baisse du budget de la restauration scolaire tandis que celui de la communication a doublé, notre ville en sommeil a perdu son statut de capitale économique de l'Est, le Dipavali est devenu une manifestation au rabais, exilée au Colosse, nombre d'associations, asphyxiées financièrement meurent à petits feux... Ce maire tente de masquer son bilan désastreux par le mensonge : mensonge d'un « monsieur manger cuit », qui n'a cessé de dénigrer injustement Jean-Paul Virapoullé, tout en vivant sur les acquis de son prédécesseur.

 

La rénovation urbaine de la Cressonnière, le nouveau quartier de Fayard, la station d'épuration, le plan de rénovation des écoles et la création de deux nouvelles écoles ont été initiés par Jean-Paul Virapoullé. Mensonge d'un maire qui se targue d'avoir assaini les finances alors que dès son arrivée il a augmenté de plus de 60% les indemnités de ses élus et a embauché à prix d'or son clan au cabinet. Mensonge de celui qui voulait jouer à « monsieur Propre », condamné par le Conseil constitutionnel pour tricherie avec l'argent des contribuables. Mais aussi mépris et arrogance : mépris du « maire Fantôme » transformant son bureau en bunker avec garde du corps et porte codée, recevant en un mois le public que Jean-Paul Virapoullé recevait en un jour, mépris et casse sociale en raison des retards pris dans l'attribution des aides sociales mais aussi parce que « y choisi la tête pou aide la population », mépris et casse sociale avec plus de cent employés communaux et 300 contrats aidés virés en 2008, mépris et arrogance du clan Fruteau avec « la femme du maire et la belle-mère » venues en conseil municipal chauffer à blanc les militants, faire pression et conspuer l'opposition.

 

« Ce maire en perdition qui était censé rassembler les Saint-Andréens a été incapable d'assurer l'unité de sa majorité aujourd'hui déchirée ».

18 juin 2013

Courrier des lecteurs

Article de clicanoo.re publié le 18 juin 2013

Eric Fruteau, l’art du machiavélisme

Moi maire de Saint-André, je réconcilierai les Saint-Andréens entre eux. Moi maire de Saint-André, je prêterai une oreille attentive à toute la population, sans préjugés partisans. Moi maire de Saint-André, je protègerai les employés communaux. Moi maire de Saint-André, je prends l’engagement que chaque famille, chaque individu sera écouté et entendu. Moi maire de Saint-André, je ferai les choses différemment. Moi maire de Saint-André, je laverai plus propre que propre. Avec moi, maire de Saint-André, il n’y aura plus de dynastie. Aujourd’hui, moi maire de Saint-André, je fais ce que je veux et je n’ai d’ordre à recevoir de personne. En matière de trahison, ce jeune maire n’est pas à son coup d’essai. Après avoir trahi sa famille politique (le parti communiste réunionnais), le personnel communal, ses amis et la population, il s’apprête à porter le coup fatal aux membres de son conseil. Ne pouvant ou ne voulant faire confiance à aucun de ces élus, il réfléchit alors à une stratégie qui lui permettrait de reprendre "son siège" après son inéligibilité. Dans un premier temps, il teste une éventuelle candidature d’un de ses proches collaborateurs (de surcroit le beau- frère de sa sœur), pas suffisamment concluante. Ensuite, il propose à sa deuxième adjointe un deal : la tête de liste et deux mois de mandat de maire (si élection il y a) contre une démission. Il essuie un deuxième échec. Sa dernière trouvaille, la plus lumineuse, n’est autre que la candidature de sa femme. Alors, il faut faire très vite et préparer le terrain si on veut rester à la mairie. Ainsi, la permanence familiale est mise au service de madame pour l’initier à l’accueil du public-électeur. Le baroud d’honneur du maire devant la Cour européenne des droits de l’homme n’est surtout pas pour l’honneur ou le principe mais pour jouer la montre. Plus l’attente est longue, moins les prétendants pourront fourbir leurs armes et la candidature de madame passera sans secousse. Pourquoi le premier adjoint est-il volontairement oublié ? Douterait-on de sa loyauté ? N’est-il pas assez cultivé ? Ces questions commencent sérieusement à lui tarauder l’esprit. Déjà en 2008, lors du renouvellement du troisième canton, il a été mis sur la touche au profit d’un ami (de plus de 30 ans comme on dit) d’enfance, Robert Nativel. En 2011, ce premier adjoint ne trouve toujours pas plus de grâce aux yeux du maire pour ferrailler dans le troisième canton. Le choix se porte donc sur une novice amie enseignante. Si on se réfère aux statuts, la philosophie du PLR, parti de monsieur Fruteau, est basée sur l’intégrité, la justice, la proximité et la démocratie. A la section de Saint-André il n’y a pas de débat et les prises de décision ne sont pas collégiales mais unilatérales. Il me semble aussi que le dernier élu de la liste du maire a eu des démêlés (importantes) avec la justice. Pour s’afficher sur toutes les photos « de famille », il s’est sûrement refait une petite santé le bonhomme ! Le PLR nous vend du vent et la devise de son maire de Saint-André est « faites ce que je vous dis, mais ne faites pas ce que je fais ». Pour corroborer cette citation de Saint-Matthieu, revenons seulement sur deux évènements : Les municipales partielles de Sainte Suzanne. Le PLR et Eric Fruteau ont soutenu madame Pausé puis Allamelou parce qu’il n’était pas tolérable de vouloir reprendre la mairie après avoir « purgé sa peine ». Monsieur Fruteau s’apprête à faire la même chose. L’élection du bureau du conseil général. "Il n’y a pas d’héritier au parti communiste", avait-il vociféré à l’encontre de Pierre Verges pour une question de 4e vice-présidence qui aurait échappé à Robert Nativel. Pourquoi devrait-il avoir un héritier à la mairie de Saint-André ? La dynastie Fruteau serait-elle au- dessus des propres règles du PLR ? Dans le conseil on compte plus d’une voix discordante concernant ces mesquineries mais la peur (de qui, de quoi ?) n’incite guère à la rébellion. Il se dit aussi, dans les couloirs de la mairie, que le premier adjoint répète à qui veut entendre, qu’il sera candidat contre vents et marées. Ouffff ! Au moins un courageux... s’il résiste à la pression et aux quolibets des autres collègues « carpettes ». Joseph Joubert n’avait pas tout à fait tort quand il disait : « en politique, il faut toujours laisser un os à ronger aux frondeurs ». Que restera- t-il de cette mandature ? Rien de rien, sauf quelques regrets d’avoir choisi un jeune arrogant, prétentieux et méprisant à d’autres qui auraient sûrement fait mieux. Rendez-vous dans quelques mois chers camarades ! Saint-André sera sans nul doute définitivement Uni, Rassemblé, Libéré.

 

Des Personnels Communaux Libres et Rassemblés (PCLR)

 

lettre personnalisé adresser à chaque personnel communal le 28 février 2008 pour ceux qui ont oublié les promesses du Maire Eric Fruteau voilà le lien de la lettre : http://saintandre974.canalblog.com/...

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14 juin 2013

Jacky The-Seng demande à la mairie de St-André d'agir

article et photo de www.inforeunion.net  Vendredi 14 Juin 2013

Invité de inforeunion.net
Jacky The-Seng, 7e adjoint, demande à la mairie de St-André d'agir "pour l'hygiène et la santé"
 

"Depuis plusieurs années déjà vous êtes incommodés par des nuisances insupportables liées à l’insuffisance et au vieillissement du réseau d’assainissement des eaux usées dans votre quartier : débordements nauséabonds d’eaux usées, mauvaises odeurs insupportables".

 "Beaucoup plus qu’un simple problème environnemental, il s’agit d’un grave problème de santé et de salubrité publiques, qui ne saurait être traité avec légèreté et mépris comme l’a fait l’adjointe et conseillère générale du premier canton, Madame Caniguy, reprochant aux riverains de se plaindre régulièrement de mauvaises odeurs….avant les élections !

Sans doute une station d’épuration moderne a-t-elle été récemment construite et mise en service au cours du mandat de l’actuelle municipalité mais, faute d’avoir rénové et adapté aux besoins actuels le réseau terminal de l’assainissement aboutissant à la station d’épuration, cette station n’a pas résolu le problème des débordements et des mauvaises odeurs.

Une affaire d’hygiène et de salubrité publiques de cette importance doit trouver une solution rapide et acceptable, d’autant que promesse de la régler avant la fin 2009 avait déjà été faite par le maire actuel, lors d’un conseil municipal en juin de la même année.

Il n’est plus possible d’attendre davantage le lancement des travaux annoncés pour la fin 2013, dont la durée encore imprécise retardera d’autant la solution définitive et durable de ce problème.

Ensemble exigeons de la municipalité et des services sanitaires et techniques concernés :
- Une solution immédiate, même provisoire, au débordement et à l’écoulement des eaux usées à l’air libre, à l’extérieur du réseau d’assainissement, situation intolérable et source de menaces pour l’hygiène et la santé publiques ;

- L’accélération de la mise en chantier des travaux prévus dans le cadre de la rénovation du chemin de l’Etang.

- La mise en place de canalisations d’un calibre suffisant et adapté aux besoins nouveaux en matière d’assainissement ne peut plus attendre.

La santé, la salubrité, l’hygiène publique ne sont pas un problème de droite ou de gauche : le respect de ces règles constitue un devoir essentiel dû à l’ensemble de la population sans exception".

Section de Saint-André du parti communiste réunionnais.
Jacky The-Seng et J.Paul Ciret

 

24 mai 2013

A Saint-André, des élus au parfum...

Courrier des lecteur Article de Zinfos974.com  publié le 23 mai 2013

A Saint-André, des élus au parfum...

Tous les Réunionnais ont pu voir à la télévision les images peu ragoutantes, du quotidien vécu par les habitants du chemin de l’Etang à Cambuston, du fait du dysfonctionnement du réseau d’assainissement, alors qu’une station d’épuration flambant neuf a été récemment inaugurée avec tambours et trompettes par la municipalité PLR d’Eric Fruteau. Dommage, quelque part, que la télé ne puisse retransmettre les odeurs, car de la sorte le réalisme du reportage aurait pu être plus parfumé. Dommage aussi que le journaliste n’ait pas songé une petite rallonge en interrogeant devant toute la Réunion prise à témoin l’adjointe conseillère générale de Cambuston, Mme Caniguy.

Si l’on en juge par ses propos rapportés dans la presse, chaque Réunionnais aurait pu constater avec quel mépris, quelle arrogance elle considère la population du Chemin de l’Etang, dont elle est pourtant l’élue, une population ni plus ni moins accusée de se plaindre de mauvaises odeurs chaque fois à la veille d’élections ! Et en rejetant la responsabilité de la commune dont la gestion des eaux usées ne ressortirait pas de sa compétence !

Voire… Si effectivement cette tâche revient à l’entreprise concessionnaire, en l’occurrence la CISE, c’est à la collectivité de prévoir le renouvellement et la modernisation des infrastructures et l’avenir proche nous dira si le budget de 3 millions d’euros annoncé pour fiancer un chantier de rénovation du réseau d’assainissement sera effectivement mis en œuvre… à la veille des élections !

Si l’on ajoute à cela la grève à la SEPUR qui dure depuis une semaine et entraine l’amoncellement des ordures non ramassées, c’est une Fête des Mères bien peu odorante que se préparent les Saint-Andréennes et Saint-andréens, surtout celles et ceux du Chemin de L’Etang. Le meilleur et le plus beau cadeau que les vertueux élus Saint-Andréens pourraient offrir aux mamans Saint-andréennes serait de se démener et de tout faire pour mettre fin aux nuisances nauséabondes du Chemin de l’Etang à Cambuston et de peser sur la direction de le SEPUR pour qu’elle fasse droit aux justes revendications de ses travailleurs et mettre ainsi un terme à leur grève plus que légitime. Cela, ce serait un vrai et significatif cadeau, beaucoup plus qu’une carte aux mamans... même pas parfumée !

Paul Dennemont
Saint-André

 

Article de Clicanoo.re publié le 24 Mai 2013

 

jacky the seng

27 avril 2013

Saint-André "I defé"

Courrier des lecteur Article de Clicanoo.re publié le 17 avril 2013

 

Saint-André « i défé »

Avant les élections municipales de mars 2008, j’avais mis en garde les « camarades » de la section communiste de Saint-André sur les ambitions personnelles (intéressées bien sûr) et les méthodes peu démocratiques de « Monsieur Propre ». Même si ce constat fut plus ou moins partagé par un certain nombre de militants du PCR, ils n’ont pas été très courageux pour défendre la ligne directrice du parti. Pire, j’ai eu droit à des attaques en règle et à de nombreuses critiques.

Aujourd’hui, une (très) grande majorité de Saint-Andréens reconnaît qu’avec cette équipe d’amateurs, la ville i « refé » pas du tout mais i « défé ». On est passé du stade de l’espoir à celui de la désillusion et du désenchantement. Les slogans chocs d’hier, « servir le peuple », « non à la familiocratie », « demain ma ville » et j’en passe, s’apparentent aujourd’hui à de la foutaise.

Servir le peuple ? L’augmentation des indemnités des élus, la boulimie des mandats (maire, président de la CIREST, conseiller général, ex-futur député…) ne vont nullement dans cette direction.

Non à la familiocratie ? Il suffit juste de regarder dans le staff du maire. On trouve qui ? La famille très proche des membres du conseil. Cette méthode est courante soit ! Alors, pourquoi la dénoncer et faire semblant de la combattre quand on fait pire ?

Demain ma ville ? A part quelques bouts de trottoir, une concentration de logements sociaux à Terrain-Fayard et quelques bricoles liées à un restant de programme de l’ancienne municipalité, on ne peut pas dire que Saint-André i refé.

Il n’y a qu’à voir l’état de délabrement et d’abandon du parc du Colosse, les tas de détritus qui fleurissent aux quatre coins de la ville… pour se faire sa propre opinion.

Pour justifier leurs difficultés (financières ou autres) à entreprendre, investir, ou améliorer, ce pourquoi l’équipe a été élue, la population a toujours droit au même refrain : l’héritage du passé. Quelle excuse ! Jamais les maires de Saint-Leu ou de Trois-Bassins, pour ne citer qu’eux, ne se sont réfugiés derrière un tel argument.

Il n’est pas nécessaire de revenir sur le comportement de ce maire dont l’arrogance et le mépris sont principalement la règle de conduite. On a cru entendre pendant sa campagne, qu’il serait le maire de toute la population et non celui de ses partisans.

Le combat de trop

Aujourd’hui, après ses déboires avec la justice, ce monsieur ose parler de l’axe Vira-PCR qu’il appelle « l’alliance des aristocraties et des grandes familles contre les vrais élus du peuple ». Les vrais élus du peuple, Monsieur, ne courent pas derrière tous les mandats et les indemnités qui y sont liées.

Lors des dernières législatives - le combat de trop - des électeurs de la circonscription ont surtout vu un axe E. Fruteau-S. Fouassin, pour des raisons purement électoralistes et stratégiques. A cette occasion, un conseiller général de Saint-André est même allé faire du porte à porte « en misouk » à Saint-Benoît pour… le candidat UMP. C’est son choix, alors on ne se vante pas d’être propre, droit et intègre.

Qu’on ne vienne pas nous parler d’axe, de morale, de complot ou je ne sais quoi.

Certaines oreilles indiscrètes rapportent qu’il serait tenté de présenter un(e) très proche( ?) si, au sein de l’équipe, trop d’ambitions venaient à se déclarer. Quelle politique autrement !

A mon humble avis, cette équipe déjà disloquée est définitivement discréditée et rien ne pourra empêcher la lame de fond de l’emporter très loin de la mairie (à Saint-Paul peut-être !)

La Réunion a certes besoin d’un renouveau politique avec une « nouvelle » relève qui se veut instruite et compétente mais celle-ci nous montre les dents longues et son leitmotiv est : avidité de pouvoir et pouvoir centralisé autour d’un noyau où l’argent prime

Rico Toplan

 

14 avril 2013

Le maire de Saint-André sanctionné

Article et photo de http://www.temoignages.re publié le 13 avril 2013

Le Conseil constitutionnel sanctionne Éric Fruteau, vice-président du parti de Mme Bello

Le maire de Saint-André sanctionné Coup de tonnerre dans une ville de plus de 50.000 habitants

Les magistrats ont condamné l’élu pour un compte de campagne irrégulier pour la campagne des législatives au motif suivant : une publication de la Mairie de Saint-André, financée par la commune, mettant le maire en valeur a été diffusée moins de 6 mois avant l’élection. Le procédé et la somme en cause (plus de 35.000 euros) ont amené le Conseil constitutionnel à prononcer l’inéligibilité d’Éric Fruteau, maire, conseiller général et président de la CIREST. Voici des extraits de la décision publiée hier.

1. Rappel de ce qui est interdit

« À compter du premier jour du sixième mois précédant le mois au cours duquel il doit être procédé à des élections générales, aucune campagne de promotion publicitaire des réalisations ou de la gestion d’une collectivité ne peut être organisée sur le territoire des collectivités intéressées par le scrutin. Sans préjudice des dispositions du présent chapitre, cette interdiction ne s’applique pas à la présentation, par un candidat ou pour son compte, dans le cadre de l’organisation de sa campagne, du bilan de la gestion des mandats qu’il détient ou qu’il a détenus. Les dépenses afférentes sont soumises aux dispositions relatives au financement et au plafonnement des dépenses électorales contenues au chapitre V bis du présent titre »

« Les personnes morales, à l’exception des partis ou groupements politiques, ne peuvent participer au financement de la campagne électorale d’un candidat, ni en lui consentant des dons sous quelque forme que ce soit, ni en lui fournissant des biens, services ou autres avantages directs ou indirects à des prix inférieurs à ceux qui sont habituellement pratiqués »

2. Une dépense interdite de 35.871 euros payée par la commune

« Le compte de campagne de M. Fruteau, candidat aux élections qui se sont déroulées les 10 et 17 juin 2012 en vue de la désignation d’un député dans la 5ème circonscription de La Réunion, a été rejeté par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques dans sa décision du 11 février 2013 au motif que le bulletin municipal hors série de la commune de Saint-André, intitulé « Bilan mi-mandat 2008-2011 », daté du mois de décembre 2011, présentait un caractère électoral et qu’en conséquence, les frais y afférents, supportés par la commune, auraient dû être intégrés dans les dépenses de la campagne électorale de M. Fruteau et constituaient un don prohibé d’une personne morale ».

« Le numéro hors-série du bulletin municipal de la commune de Saint-André, dont il n’est pas établi que sa diffusion serait antérieure au 1er décembre 2011, était exclusivement consacré à la présentation détaillée et flatteuse des différentes actions menées par M. Fruteau, maire de la commune, depuis le début de son mandat ; que la diffusion de ce bulletin à l’ensemble des habitants de la commune qui appartient à la circonscription dans laquelle M. Fruteau était candidat aux élections législatives se rattache ainsi directement à la promotion de ce dernier ; que la dépense qui en résulte, estimée à 35.871 euros, relève des frais visés à l’article L. 52-12 du code électoral et doit être réintégrée dans le compte du candidat ; que si cette dépense ne conduit pas au dépassement du plafond autorisé, sa prise en charge par la commune de Saint-André constitue néanmoins un avantage consenti par une personne morale en violation de l’article L. 52-8 du code électoral » 

3. Pourquoi une telle décision ?

« Eu égard, d’une part, au caractère substantiel de l’obligation méconnue, dont M. Fruteau ne pouvait ignorer la portée et, d’autre part, au montant de la somme en cause, il y a lieu, en application de l’article L.O. 136-1 du code électoral, de prononcer l’inéligibilité de M. Fruteau à tout mandat pour une durée d’un an à compter de la date de la présente décision. »

 source :http://www.temoignages.re/le-maire-de-saint-andre-ineligible,65618.html

 

14 avril 2013

Eric Fruteau déclaré inéligible

Article et photo de Clicanoo.re publié le 13 avril 2013

Eric Fruteau déclaré inéligible pendant un an

Le Constitutionnel Constitutionnel a statué : Eric Fruteau a été déclaré inéligible pour un an (Article L.O 136-1 du code électoral). En février dernier déjà son compte de campagne avait été rejeté par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques.

Il est reproché entre autres à l’ex-candidat aux législatives de juin 2012 de n’avoir pas pris en considération dans ses comptes le coût (21 000 euros) du bulletin municipal (hors série), spécialement consacré à son bilan en tant que maire de Saint-André dont il s’en est servi comme moyen de propagande électorale afin de mener campagne dans le cadre du scrutin des législatives de juin 2012. Elections qu’il avait perdues.

Cette décision du Conseil Constitutionnel compromet sérieusement les plans d’Eric Fruteau dans le sens où il ne pourra pas se présenter aux municipales de mars prochain à sa propre succession. Qui parmi ses adjoints conduira la majorité municipale sortante : Joé Bédier, l’actuel 1er adjoint ou Michèle Caniguy, la conseillère générale de Cambuston ? Les paris sont ouverts.

Contacté par téléphone, le docteur Jean-Marie Virapoullé, chef de file de l’opposition municipale, qui avait écrit à la CNCCFP, se félicite de cette décision du Conseil Constitutionnel. "Celui qui voulait se poser en Monsieur Propre et en donneur de leçon de morale est doublement sanctionné : électoralement et financièrement".

Y.M.

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